Antonio déambulait dans la rue, tout souriant, comme à son habitude. Il venait de finir sa journée de cours et s'apprêtait à rentrer tranquillement chez lui.
Bien sur, il ne s'attendait pas à se faire arrêter par un assemblage de sons qu'il connaissait trop bien.
«-Hey, Bastardo !»
Il s'arrêta et se retourna pour tomber sur Romano, essoufflé des efforts qu'il avait du faire pour le rattraper, s'appuyant sur ses genoux pour retrouver son souffle.
L’Espagnol sourit en le voyant.
«-Oh, Romano~ ! Tu es venu me raccompagner ?
-Hein ? Il releva la tête et le dévisagea. Ah non. Démerde-toi tout seul, abrutit. Je voulais juste vérifier si la sonnerie que j'avais accorder à ton numéros était la bonne.»
Il sortit son portable.
Antonio le trouvait adorable de lui mettre une petite sonnerie qui différencierait ses appels à ceux des autres.
Suivant les ordres du plus jeune, il l'appela.
Il y eu deux secondes de silence pendant les quelles l'aîné attendait impatiemment une réaction du portable de l'autre.
Et, brisant le silence, un «Eh ! Oh ! Y a un gros con qui t'appelle !» Suivi de rires mal retenu, retentit.
Romano eu un air satisfait rangea son portable. Il parti en lançant à l'Espagnol un :
«-Merci, Bastardo !»
Et Antonio resta là, planté.
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