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| Les contes de Tamer, divers et variés | |
| Auteur | Message |
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Twask Golden Shipper
Messages : 2414 Localisation : eat your broccoli
| Sujet: Les contes de Tamer, divers et variés Ven 27 Juin 2014 - 16:43 | |
| Ici sera mon recueil de contes, qui égalera celui Mamie Topaz ! Bon, ok, c'est plagiat, mais c'est pas du tout la même chose. Vous vouliez quoi, quand j'ai ouvert la galerie ? Quel nom aurais-je pu choisir, bon sang ?! /agite sa canne dans tous les sens.Bon, voilà, en gros, la plupart sont des histoires que j'ai racontées à Stutch sur Skype, donc ne m'en tenez pas rancune si l'écriture n'est pas parfaite, très chers amis SI-ens. - L'histoire de la Guerre des Shippings:
Un beau jour, la guerrière Dizzy lança un appel aux plus braves combattants ; la chose était simple. Combattre jusqu'à la mort pour un shipping choisi, que l'on représentait de toutes nos forces. Cette guerre, entre parenthèses, est la preuve que Stutch était parvenue à ses fins et que le shipping était devenu un art à part-entière, reconnu sur toutes les terres du globe, et une loi incontestable pour tous ceux qui les habitaient ! Ainsi, comme je le disais, Stutch était devenue une médiatrice, en quelque sorte, entre le monde des shippings et celui des humains, qui, pauvres hommes, écoutaient aveuglément les conseils de cette jeune fille - maintenant âgée d'une vingtaine d'années - sortie de nulle part, un beau matin, qui semblait sage et de bons conseils.
Plusieurs seigneurs prirent part à cette guerre. Les plus notables furent Kai la Caille, populaire parmi les guerriers les plus sanguinaires, Chapy, sa fidèle suivante, Giga, un fou du roi reconverti dans l'art de manier les armes, Topazique, une espionne fort agile, Miette la terrible et redoutée impératrice de l'amour, et Twask. Autrement dit, mon enfant... Eheh, moi-même ! Je me souviens avoir soutenu lors de cet échange d'ostilités l'OriginShipping.
Après certains arrangements, je fus confrontée à l'obligation de me lier à plusieurs de mes adversaires. L'Origin, face au FranticShipping et à l'EonShipping, ne semblait pas faire le poids, alors plutôt que de les laisser l'écraser de toute leur popularité, j'ai rendu visite à chacun de leurs représentants ! Une réunion entre nos trois partis fut convenue, et rapidement, un traité de paix, doublé d'une protection mutuelle de chaque membre pour les deux autres, trouva une raison d'être. Topaz défendit le Frantic, Giga le Eon, et, invitée par mes soins, Miette me rejoignit dans le but de protéger l'Origin.
Kai, avec qui, jadis, j'avais prêté ce même serment, fut outrée que je la trahisse ainsi. Néanmoins, si je ne l'avais pas fait, elle aurait été celle qui aurait trahi, et l'Origin aurait coulé sans le moindre doute. Ainsi, elle obligea Chapy à lui prêter allégeance. Les deux amies, ainsi réunies, firent couler le sang de nombreux adversaires pour défendre sans le moindre répit le HoennChampionShipping ! Miette et Topaz durent, aux débuts de l'alliance, s'absenter pour l'une, prendre le temps de mettre les choses au point pour l'autre. Lorsque Topaz se retira à un moment critique de l'opération, alors même que la bataille faisait rage, l'ordre des choses changea radicalement !
Alors que la Yokoso Team, unissant Giga, Topaz, Miette, et moi-même, gagnait du terrain, le départ de l'une des seuls trois membres présents boulversa le cours de la bataille ! La régularité des attaques de Kai et Chapy eut raison un certain temps de l'espoir de Giga et Twask de gagner cette guerre sans le moindre problème ! Le peu de foi qu'il restait aux deux amis, s'amenuisant au fil des jours, revint pourtant, un matin où ils épuisaient leurs dernières forces. Si les puissances avaient été jusqu'ici égales, à deux contre deux, l'arrivée de Miette Halia remit l'issue de la bataille en question ! Les combos s'enchainèrent à un rythme endiablé, et minèrent en rien de temps Kai et Chapy ! Les deux alliées, devant ces débordements, rebroussèrent chemin, conscientes que la victoire leur échappait.
Si la victoire de la Yokoso Team fut glorieuse, et que les félicitations de nombreux paysans nous prouvèrent combien nos exploits étaient glorieux, je garde encore aujourd'hui les regrets d'avoir dû trahir Kai. Si je ne m'étais unie lachement à Giga, Topaz, et Miette, j'aurais été l'une des premières à succomber. L'Origin fut finalement dominant sur tous les autres, mais à un prix qu'aucune victoire n'aurait su racheter. J'avais certes gagné une guerre, mais, du même coup, une amitié m'avait échappé. Alors, mon enfant, si un jour, il t'est aussi donné de vivre une guerre des shippings, ne commets pas la même erreur que moi. Conserve auprès de toi les personnes qui te sont le plus chères, et fais-les passer avant-même ta victoire sur les autres. Car, quand-même bien même ta lâcheté sera suffisante à l'emporter, tu regretteras plus tard de ne pas y avoir murement réfléchi.
- Oui mais les gens qui ont fait cette guerre avec toi, ils sont devenus quoi ? Ils t'ont pas laissée moisir dans ton coin quand même ?
- Ohhh, tu sais, aujourd'hui, on est encore amis ! On se retrouve aux réunions des shippeurs anonymes, qui nous aident à canaliser notre soif de shipper (ce qui a eu une facheuse tendance à créer des guerres excessivement destructrices), et qui nous donnent l'occasion de nous voir encore !
- Naissance des shippings et la légendaire Stutch:
L'histoire commence il y a une centaine d'années, dans une contrée éloignée et brumeuse... Une fille, jeune et insouciante, marchait... Son nom, aujourd'hui encore, reste un mystère pour l'humanité toute entière... Ce conte, mon enfant, je le tiens de ma mère, qui le tenait elle même de la sienne, qui l'avait entendue auprès de la sienne, qui l'avait apprise par un vieux soulard du coin de la rue, l'ancêtre de Jean-Rémi, le meilleur ami de mamie Topaz.
- Han, un mec dans l'histoire !
- Cette jeune fille, ainsi isolée du reste du monde, marchait, incertaine, dans les pleines désolées de Troudukupomé. Elle n'avait rien connu de palpitant au cours de sa brève existence. Elle était née, ses parents l'avaient abandonnée, et, depuis ce jour, elle avait marché.
Marché sans s'arrêter, sans réfléchir à là où ses pieds pouvaient bien la conduire. Un jour, pourtant, après quatorze années de marche constante, elle fit une halte au centre d'une magnifique clairière bourgeonnante. Elle s'assit en tailleur sur un rocher parfaitement rond, et scruta d'un œil intéressé tout ce qui l'environnait .
Au loin, entre deux fourrées, elle aperçut deux silhouettes loin d'être immobiles. Elle se releva, s'avança de quelques pas et observa la scène avec attention. Deux ours se roulaient par terre, l'un dans les pattes de l'autre. Ils semblaient proches et complices. Un éclair de lucidité traversa l'esprit de la jeune fille.
Elle se redressa de toute sa hauteur et tendit un bras vers le ciel. Relevant le visage dans cette même direction, elle hurla, "J'approuve cette union ! A partir de ce jour, j'apporterai au monde tout l'amour dont il aura besoin, et rien ni personne ne pourra m'en empêcher ! Je serai l'impératrice de l'amour ! La gouvernante des-... Hey, espèce de shippeur de pommes !" Elle s'interrompit, le temps d'ôter son repas des mains d'un écureuil aux airs faussement innocents. Aussitôt cela fait, elle retourna à son monologue, et, prête à reprendre, elle se fit une réflexion, "Hey... Shippeur, ça sonne bien ! Les soldats de l'amour seront les shippeurs ! Et moi, je serai la grande-...!" Elle se stoppa une nouvelle fois, prise d'éternuements, "Laaaaa... stutch...!" Elle essuya vivement son nez et, pour ma seconde fois, reprit, "Hm. Stutch... Oui, Stuch la shippeuse...! Ça sonne bien !"
Ce jour-là, une légende naquit. Stutch la shippeuse arpenta toute la surface du globe pour trouver de nouveaux couples, qu'elle aimait à appeler shippings, et érigea à la gloire de chacun d'eux une galerie artistique. On lui attribua officiellement le rang qu'elle méritait quelques années plus tard, et elle obtint les clefs d'un avenir rempli d'amour et de shippings, dont elle serait sans le moindre doute la plus grande fondatrice. Voilà, mon enfant... L'ancêtre de Jean-Rémi était un pote relou de la mère de Stutch qui a suivi cette dernière pendant toute son aventure. Un gros chelou, ce type. Il a fini aux geôles. Enfin, voilà...!
- La mort de Kai la guerrière:
Sois forte. Elle aurait aimé que tu l'oublies. Kai était une fille simple, déterminée, amusante et attentionnée. Elle restera toujours auprès de toi. Matin, midi, soir, qu'importe l'instant, elle ne te quittera jamais. C'est ta mémoire... Que dis-je, ta mémoire... Notre mémoire à tous, SI-ens, qui la fera perdurer à travers les âges.
Kailiana, fille d'une caille, fut la plus grande guerrière de l'histoire de Shipping Infinity a avoir osé tenir tête à Timmy. A moultes reprises, il goutta à la poussière, à la honte de la défaite. Kailiana était brave. Une brave parmi les braves. La plus courageuse d'entre toutes. Kailiana, pour toutes ces raisons ; tu étais un héros. Derrière toi, sinon de la tristesse, tu abandonnes une femme. Une femme qui t'aimait. Elle te l'avait toujours montré, à travers de longs, tendres, et langoureux poèmes. Tu savais qu'elle t'aimait. Elle savait que tu l'aimais. Vous étiez heureuses, l'une avec l'autre. Rien de plus que ces mots ne vous unissaient. Et pourtant... ces mots étaient la source de tout. A eux seuls, ils savaient mieux raconter votre histoire que de longs et interminables récits.
Kailiana, fille d'une caille, héros de ton cycle, de ton époque ; héros de ton temps, des nuits de ta bien aimée ; Kailiana, shippeuse SI-enne, nous ne t'oublierons jamais. Toi seule sauras nous guider, à présent, lorsqu'un obstacle se présentera à nous. Toi seule, ton âme, ta pensée, ta volonté de battre, seront nos plus grands atouts.
Kailiana, fille d'une caille, amante amoureuse et attentionnée, ton nom restera à jamais gravé dans les lignes de la CB. A présent, Kai, tu nous fais confiance. Nous ne sommes certes que deux, mais pourtant, malgré cela, tu nous fais confiance. Alors, qui mieux que nous, tes élèves, représentantes de ta relève, guerrière Kai, pourraient transmettre ce message auquel tu avais déjà voué ton existence entière ?
Oui, toi, Kai, fille d'une caille, tu n'avais pas volé ta réputation. Et aujourd'hui encore, nous la ferons subsister. Amen.
- Pazza et Kai ; un amour impossible...?:
Elle tourna la tête à gauche, puis à droite, ne sachant que faire. Aller lui parler ? Lui dire la vérité ? Non… Il la rejetterait… C’était une évidence… Combien de fois avait-elle voulu franchir le pas, et ainsi se déclarer ? Oh... Combien...? Même elle n'aurait été capable de se remémorer le nombre incroyable de fois où cette envie l'avait prise… sans jamais qu’elle ne se concrétise.
Elle serra les poings. Elle devait réfléchir, vite. Avant qu’il ne parte, qu’elle ne doive partir, ou que quelque chose de plus terrible n’arrive. Qui aurait pu savoir ? Un hélicoptère pouvait bien s’écraser, là, dans l’instant, sur lui ; sur elle… Sur tout le monde… Plusieurs hélicoptères, peut-être… Beaucoup d’hélicoptères. Voir même des jets. Oh, non… Tout mais pas ça… Sa phobie des jets n’avait fait que s’accentuer, ces derniers temps. Un tank, peut-être… Une troisième guerre mondiale…
- Je dois lui parler, se résolut-elle enfin, pensant tout haut.
Maintenant ; restait à trouver une excuse. Quelque chose de simple, pour que cela reste dans ses cordes, mais de non-plus trop évident. Elle devait paraitre crédible. Arriver vers lui et lancer : « Hey, excuse-moi, mais je crois qu’un hélicoptère va s’écraser pile là où tu te tiens ! Oh… ! Dingue ; c’est toi ! », risquait de passer pour une mauvaise blague, ou alors une très, très mauvaise improvisation. Voir même une mauvaise blague improvisée.
Elle se mordit la lèvre jusqu’au sang, prête à s’avancer de quelques pas, quand un éclair de lucidité la prit aux trippes. Des mouchoirs ! Les mouchoirs étaient la solution à tout !
Elle songea à la pub Lotus qu’elle avait eu l’occasion de voir, deux jours auparavant, puis se souvint que Lotus était une marque de papier toilette dont elle avait fait mauvais usage. Rien à faire… Quoiqu’elle pense, elle finissait toujours par laisser dévier son imagination vers un sujet sans aucun rapport. Dans le pire des cas, faire comme si de rien n’était, ou miser sur sa chance en envoyant un message sur Shipping Infinity, intimant à Pazza de se retourner, marcherait peut-être aussi bien que le coup des hélicoptères.
- A la guerre comme à la guerre…
Elle sauta sur lui, bras tendus devant elle, priant pour qu’il la reconnaisse avant que le choc n’ait lieu. Plus elle s’approchait ; plus la distance qui les séparait décroissait. Ce fut d’une logique telle qu’elle resta un instant en suspens, ne sachant si elle venait de faire une découverte historique, ou si une parcelle surdéveloppée de son cerveau jusqu’alors restée inexploitée avait refait surface. Finalement, de peur d’y laisser des neurones, elle fit mine de rien et se laissa retomber de tout son poids sur l’italien, après l’avoir entendu compter en ce qui lui sembla être du japonais. Oui ; c’était très certainement lui. Aucun autre homme sur Terre ne comptait en japonais pour attirer les enfants. Elle aurait dû frémir à cette simple pensée, plus écœurante que rassurante, mais sourit simplement, sachant que, ce jour-là, si tenté est qu’elle ne se soit pas trompé, il ne lui ferait rien, car il n’avait pas vraiment le temps au beau milieu de la semaine.
Quand, enfin, leurs regards se croisèrent, tous-deux eurent l’impression d’être traversés de toutes parts par un millier de lames plus aiguisées les unes que les autres. Leurs cœurs battaient férocement contre leurs poitrines, et leurs bouches s’asséchèrent. A se demander si Mera, la compagne d’Aquaman, n’était pas arrivée en ville pour ôter la moindre présence d’eau de leur corps. Mais il n’en était rien. Le monde avait cessé de tourner. Il n’y avait plus qu’eux. Personne d’autre qu’eux, et leurs regards plongés l’un dans l’autre. C’était un instant intense, entre l’italien et la Caille, si bien que personne ne songea à interrompre la chute inexorable de cette dernière, toujours en quasi-lévitation au dessus du sol, trop occupée à se perdre dans le bleu océan des magnifiques yeux fixant les siens.
Mais fut un temps où ses pouvoirs ne suffirent plus à la maintenir au dessus du sol, et elle retomba de tout son poids contre le torse musculeux du bel éphèbe. Plutôt que de s’en retirer, et ainsi pouvoir fouler le goudron à nouveau de ses deux pieds, elle y enfouit son visage, heureuse de ne pas avoir fait erreur sur la personne. Et, en toute logique, il la serra entre ses bras puissants, la réconfortant par la simple chaleur de son corps.
Finalement, sans que le moindre mot n’ait eu à être dit, leur amour devint possible. Et il ne fut plus question d’hélicoptères ni de jets.
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Dernière édition par Twask le Mer 22 Avr 2015 - 19:08, édité 1 fois |
| | | Historwask Golden Shipper
Messages : 5581 Localisation : Il fout quoi le type aux cheveux verts
| Sujet: Re: Les contes de Tamer, divers et variés Ven 27 Juin 2014 - 19:59 | |
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| | | Twask Golden Shipper
Messages : 2414 Localisation : eat your broccoli
| Sujet: Re: Les contes de Tamer, divers et variés Ven 27 Juin 2014 - 20:25 | |
| /me looks right, looks left. Gulped.
Joli dessin. _____________________________________________VICTOIRES AU CHÂTEAU DE COMBAT
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| | | Twask Golden Shipper
Messages : 2414 Localisation : eat your broccoli
| Sujet: Re: Les contes de Tamer, divers et variés Mer 22 Avr 2015 - 19:00 | |
| C'est l'histoire d'une fille qui était pdpdpdpd. Cette fille s'appelait Trucbiduche, un nom envié de tous pour sa beauté et sa rareté. Hors, Trucbiduche se fit un jour enlevée. Elle ne put répliquer, et dut se laisser aller aux mains de ses assaillants. Trucbiduche était jeune, du haut de ses treize années d'existence, et pas plus forte qu'une marmotte.
A l'exception près que Trucbiduche n'était pas une marmotte, mais la reine du royaume des FDP. Elle était secondée dans sa tache par Topazique, la ministre des fdp. Topazique enviait Trucbiduche pour bien des raisons : à commencer, bien entendu, par son poste de reine, qu'elle aurait aimé posséder pour ainsi manger des patates toute la journée sans qu'aucune remarque ne lui fut jamais opposée. Vint le jour où Topazique vit venir vers elle une étrangère, d'un royaume voisin, qui savait tout de sa condition, et prétendait pouvoir y remédier
L'étrangère se présenta à elle comme "Chapy la kikoo", et lui céda une potion de "SuperKuroNekoYaoiFanChapy", que Topazique accepta sans chichis. Le seul hic de l'histoire arriva bientôt : la potion avait pour but de transformer Trucbiduche en une terrible kikoo, digne du 15-18, mais... Le frère de Topazique ; Basilique, s'en mêla ! L'histoire prit alors un tournant que nul n'espérait, pas même dans ses plus beaux rêves. Basilique déroba la potion de "SuperKuroNekoYaoiFanChapy" à Topazique, et brisa la potion en une millier d'éclat de verres. Se mélangeant à la poussière du palais, les voluptes qui s'échappèrent du contenant rendirent fous les serviteurs du palais, et ils s'appliquèrent à enlever Trucbiduche sans aucune raison, sans doute car elle était étrangement la seule que le maléfice avait épargnée.
Chapy la kikoo et Topazique fuirent hors du royaume et se marièrent en territoire ennemi quelques années plus tard. Topazique mangea des patates pour le restant de ses jours, tandis que Chapy affinait ses connaissances kikoo. Dans le même temps, au royaume des FDP, un être sordide profitait de l'enlèvement de la princesse pour s'emparer du pouvoir. On connaissait ledit être sordide sous le nom de... JM !! JM, par une habile manoeuvre, obtint très vite un contrôle total sur l'existence de Basilique, qui se laissa faire avec joie et sans chichis.
La terrible Jeanne-Moulouda Jeanne-Moulouda détruisit le plus gros des terres, et transforma l'ensemble du royaume en une gigantesque salle de piscine, alors même que la véritable princesse du royaume, Trucbiduche, atteignait ses dix-huit ans. Trucbiduche fut donc retenue captive cinq ans, toujours sans aucune raison spécifique, et laissait la place libre à Jeanne-Moulouda, qui n'en finissait plus de ses abus de pouvoir.
Seulement, un plotwist se mêla à l'histoire !! Une voyageuse, venue d'une contrée lointaine (encore une, oui !!), arriva bientôt aux portes de la capitale du royaume des fdp, où trônait Jeanne-Moulouda. Cette voyageuse portait le nom de... Lisa Tomique !!!!!!! Lisa Tomique était la réincarnation d'une déesse germanique ancestrale, et préchait sa propre parole partout sur Terre, parce que personne d'autre n'était disposé à le faire. Ainsi, elle arriva aux portes de la capitale, pour prêcher sa propre parole comme la grosse pauvresse qu'elle était, et mangeait du maïs, quand elle eut vent de la présence de Jeanne-Moulouda Jeanne-Moulouda au sein même de la citée. Lisa Tomique se leva, déterminée, et courut lentement jusqu'au palais de la méchante, car l'âge pesait sur ses vieux os.
Elle y arriva, à bout de souffle, et prit une semaine ou deux à se remettre de cette course effrénée de cinquante mètres !! Quand cela fut fait ; seulement après, les choses sérieuses commencèrent. Lisa prit la direction de la chambre de JM, dont elle devinait l'endroit par la forte odeur de basilique qui s'en dégageait et les bruits d'eau qui en émanaient, et se prépara à l'attaque. Lisa Tomique n'aurait pas à combattre, car tout se ferait le plus naturellement du monde. Elle se déshabilla, inspira un grand coup, et entra dans la pièce en détruisant les portes au passage.
C'est alors que la vérité devint claire : Jeanne-Moulouda était la jumelle congolais de Lisa Tomique, et donc la réincarnation d'une déesse ancestrale Française, qui avait assouvi des peuples entiers pour qu'ils aillent prêcher sa parole (et par la même occasion, celle du basilique). La rencontre de ces deux entités si opposées créa une faille dans l'espace temps, et avant-même que l'une d'entre-elles est pu débiter le moindre mot : le vide se fit autour d'elles, et elles périrent, détruites par le néans.
Basilique retrouva la raison ; rappela sa sœur et par conséquent Chapy la kikoo. Ces années de mariages ayant rendu Topazique moins fourbe, elle fit libérer Trucbiduche, qui était devenue grave bonne, et Basilique s'éprit d'elle, mais il ne se passa rien entre eux, car elle était pd et lui hétéro : BIM DANS TAGGLE SALE HÉTÉRO. Trucbiduche reprit les commandes du royaume, fit élever des kilomètres de pontons sur son territoires, pour couvrir les trous et les zones d'eau trop nombreuses qu'avait engendré le règne de Jeanne-Moulouda Jeanne-Moulouda. Elle fut de toute évidence une meilleure dirigeante que JM, et pour rappeler les erreurs du passé à leur descendance lointaine, fit concevoir une gigantesque statue de basilique, élevée dans la main d'une naine (assez grande toutefois pour que la statue ne passe pas inaperçue), aveugle, grosse, aux yeux blancs et ouverts : et bien entendu chauve, dont le crâne était frappé de l'inscription : "mi6on lokal 2 ta vil 5evr".
Et ceci, mes amis, est l'histoire de la création des missions locales.
Histoire pleine de feels que je poste ici pour la prospérité, à l'origine écrite pour la CB et Lisa. <333 _____________________________________________VICTOIRES AU CHÂTEAU DE COMBAT
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