Kodou
AVERTISSEMENT : Ce One-Shot contient des scènes de vampirisme, mutilation, viol, syndrome de Stockholm, langage vulgaire. Vous êtes prévenu, les enfants. Âme sensible s’abstenir.
Rating: M.
Résumé: Au fond, Kotone le savait. Elle n’aurait jamais du s’infiltrer dans la Team Rocket. Et Lance compte bien lui montrer à quel point elle avait eu tort de se réveiller ce matin.
Rappel : Syndrome de Stockholm: Quand une victime éprouve des sentiments de nature romantique envers son agresseur.
Je tiens à préciser que j'ai écris ça au temps de feu SP. J'étais bizarre à ce moment. Enfin plus que maintenant! N'ayez pas peur de moi... S'il vous plait. Je suis gentille, vraiment.
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Un hurlement déchirant fendu l'air en deux. Un hurlement atroce, douloureux. Ce genre d'hurlement détonnant avec une nuit aussi sombre que cette nuit-là.
- Dis. Moi. Qui. Ta. Dis. Que. Nous. ETIONS LA !
Sa prise acérée sur le cou de Kotone se fit plus forte. Le sang se mit à couler, à se déverser sur sa chemise blanche.
Si elle avait su… Elle pensait qu’il mentait, qu’au fond il n’était pas si cruel. Elle pensait pouvoir le sauver, avec son amour. Et voilà que maintenant elle était là, allongée sur le sol, les crocs de Lance sur sa peau, la déchiquetant, lui infligeant une souffrance atroce. Elle qui aimait qu’il la morde, avant… Elle comprenait les victimes des vampires, maintenant. En mieux. En pire.
Sauf que Lance n’était pas un vampire.
- DIS LE MOI, SALOPE!
-AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!
La douleur était insoutenable. Les dents de Lance se baladait sur tout son cou, le sang coulait sur elle, la nausée lui monter. Elle voulait vomir…
Ou mourir.
- Je … Je ne sais pas… AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH! Je suis allé à Doublonville comme ça… Je voulais… Je voulais te voir….
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !
Il se mit à rire. Dieu qu’il était beau, la peau pale, le sang débordant de ses lèvres, ses yeux d’un vert profond lui scindant l’esprit. Au moins, elle aura vue quelque chose de beau avant de mourir.
Il se leva soudainement, la laissant attaché sur le sol. Elle entendit un morceau de verre se briser, et il revint vers elle, un sourire fou accroché aux lèvres.
Et un morceau énorme, ( trop? ) pointue, de verre avec lequel il serait facile de la découper.
- Me voir, vraiment ? Tu es si touchante, Kotone… Je t’aime tellement…
Il se jeta sur elle, et attaqua son pauvre, petit maigre corps. Il enfonca la pointe de sa lame dans le bras, le plus loin qu’il pouvait, et il commença à tracer une lettre. C?
Le sang coula, encore. Elle le sentait, ce liquide chaux au creux de sa paume. D’autres parts, il descendait sur ses seins, le long de ses cuisses, dans ses cheveux, ses joues. Il lui semblait que son cou se noyait dedans.
Elle poussa un gémissement de douleur. Pourquoi ?
- Lance…
Elle toussa, et sentit un goût amer, d’acier, se répandre dans sa gorge.
L’homme en face d’elle se remit à rire. Il lécha le coup de sa victime, appréciant la saveur. Il planta ses yeux sur elle, l’œil visiblement excité. Un fauve.
Son hurlement fut déchirant. La lame traversait avec fureur son bras, elle la sentait dans sa chair, ses veines, ses nerfs, ses muscles. Elle entendant ses os se briser au fur et à mesure, la nausée la reprit.
Nouveau coup de sa lame. H, cette fois-ci.
Il arracha violemment la salopette de la jeune fille, et un «crac» énorme retentit. Il lui avait brisé l’épaule.
Et un nouveau hurlement. La peur, la douleur.
Son rire se fit plus fort, plus dément. Il baissa son pantalon, son boxer, et les sous-vêtements de la jeune fille.
Et il la pénétra. Avec toute la violence qu’il pouvait, ignorant délibérément les cris d’horreur de Kotone, de son amour. Le sang s’échappa alors de ses cuisses, lui facilitant visiblement l’accès. Il jouit, ria, continua encore et encore.
Il se remit à la mordre. Son autre bras. Un gazouillis se fit entendre, le sang de la petite faisait coagulait, il grouillait. Elle toussa. Encore.
Et encore un hurlement.
- Arrête; je t’en supplie…A … rr… ê…te…
Trois nouvelles lettres , ECK. Ou voulait-il en venir ?
Il planta ses griffes dans son ventre. Elle hurla, encore. Ses hurlements se joignant au rythme du bassin de Lance.
Elle ne comprenait pas. Elle l'aimait tellement, pourtant...
Son rire continua. Deux nouvelles lettres; MA.
Il baigna sa main occupé à détruire le ventre de Kotone dans son sang, qu’il lécha goulument . Puis, voyant le regard mort de la jeune fille, il lui enfonça ses doigts dans sa bouche, la forçant à boire. Elle eut un haut-le-coeur.
Ses griffes redescendirent. Une idée jaillit alors de son esprit.
Il finit d’écrire les lettres, et pointa son couteau sur l’abdomen de la jeune fille. Il le déchira.
Son hurlement fut plus puissant, plus atroce encore, la douleur la crispait, le prenait au tripe, dans sa tête le sang s'agitait, elle le voyait, partout, ailleurs, comme si chaque morceau de son corps se détachait d'elle, comme si il n'y avait plus qu'elle, la douleur, et Lance, son amour, sa vie.
Il rit, et balada sa mains dans ses organes. Elle eut un hochet, peut-être le dernier. Mais avant de mourir, il lui montra son bras:
Checkmate.
Et il lui arracha le cœur, arrachant le dernier souffle de Kotone entre ses lèvres gorgées de sang.
«Je t’aime, mon amour…»
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J'avais abusé d'Higurashi, Happy Tree Friends, et autre quand j'ai écris ça. C'est dommage, je n'ai pas réussi à entrer bien dans la torture et la souffrance de Kotone. C'est du sang pour du sang quoi. Bref, j'suis pas satisfaite de moi. Mais bon. Mon style s'est amélioré, entre-temps. J'espère...
En espérant ne pas vous avoir trop, hum... Marqué